Mise en garde à propos des déclarations prospectives
Certaines déclarations faites dans ce communiqué de presse à propos
de l’intention de la Banque de lancer une offre publique de rachat
dans le cours normal des activités sont des déclarations
prospectives. Ces déclarations sont faites conformément à la
législation en valeurs mobilières applicable au Canada et aux
États-Unis. La Banque peut également faire des déclarations
prospectives dans d’autres documents et dépôts réglementaires, de
même qu’oralement. Ces déclarations prospectives sont habituellement
marquées par l’emploi de verbes ou d’expressions verbales comme «
prévoir », « croire », « estimer « projeter », « planifier », «
s’attendre à », « avoir l’intention de », par l’emploi de la forme
future ou conditionnelle, notamment des verbes tels que « être », «
devoir » et « pouvoir », et par l‘emploi d’autres termes ou
expressions similaires.
Ces déclarations prospectives visent à aider les actionnaires de la
Banque à comprendre la situation financière et les résultats
d’exploitation de la Banque aux dates indiquées et pour les périodes
alors terminées, ainsi que la vision, les objectifs stratégiques et
les cibles de performance de la Banque, et peuvent ne pas convenir à
d’autres fins. Ces déclarations prospectives sont basées sur les
attentes, estimations, hypothèses et intentions actuelles que la
Banque considère raisonnables à cette date, et sont sujettes à de
l’incertitude et à des risques inhérents, dont bon nombre sont
indépendants de la volonté de la Banque. Il est fort possible que
les prévisions, projections, attentes ou conclusions expresses ou
implicites de la Banque ne se révèlent pas exactes, que ses
hypothèses ne soient pas confirmées et que sa vision, ses objectifs
stratégiques et ses cibles de performance ne soient pas réalisés. La
Banque met en garde les actionnaires que ces déclarations
prospectives ne sont pas des garanties de performances futures et
que les événements ou résultats réels peuvent différer
significativement de ces déclarations en raison d'un certain nombre
de facteurs. Ainsi, la Banque recommande de ne pas se fier indûment
à ces déclarations prospectives, étant donné que divers facteurs
pourraient faire en sorte que les résultats réels soient
significativement différents des attentes, des estimations ou des
intentions exprimées dans ces déclarations prospectives. Les
actionnaires et autres personnes qui se fondent sur les déclarations
prospectives de la Banque doivent considérer soigneusement les
facteurs mentionnés ci-dessous, de même que d’autres incertitudes et
événements potentiels, ainsi que les risques qu’ils comportent. À
moins que la législation ne l’y oblige, la Banque ne prévoit pas
mettre à jour quelque déclaration prospective que ce soit, verbale
ou écrite, qu’elle peut faire ou qui peut de temps à autre être
faite en son nom.
Les hypothèses qui ont trait à la performance des économies du
Canada et des États-Unis en 2025, notamment dans le contexte
d’incertitude géopolitique accrue, et à leur incidence sur les
activités de la Banque figurent parmi les facteurs pris en
considération au moment de déterminer les priorités et les objectifs
stratégiques de la Banque, notamment en ce qui a trait aux
provisions pour pertes de crédit. Ces hypothèses figurent à la
section Survol et perspectives économiques, et pour chaque secteur
d’exploitation, à la section Revue de l’économie et du marché du
Rapport annuel 2024 ainsi qu’à la section Survol et perspectives
économiques des rapports trimestriels aux actionnaires déposés par
la suite.
Les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué
de presse reposent sur un certain nombre d'hypothèses et leurs
résultats futurs sont assujettis à certains facteurs dont bon nombre
sont indépendants de la volonté de la Banque et dont les effets sont
difficilement prévisibles, y compris, entre autres : la conjoncture
économique générale et les conditions du marché au Canada, aux
États-Unis et dans les autres pays où la Banque exerce des
activités, incluant les risques de récession; l’incertitude
géopolitique et sociopolitique; les mesures affectant les relations
commerciales entre le Canada et ses partenaires, incluant
l’imposition de tarifs et les mesures prises en réponse, ainsi que
les impacts possibles sur notre clientèle, nos opérations, et plus
généralement, sur l’économie; les fluctuations des taux de change et
des taux d’intérêt; l’inflation; la perturbation des chaînes
d’approvisionnement mondiales; l’augmentation des coûts de
financement et la volatilité des marchés; les modifications
apportées aux politiques budgétaires et monétaires et à d’autres
politiques publiques; la supervision réglementaire et les
modifications apportées à la réglementation touchant les activités
de la Banque; la capacité de la Banque à intégrer avec succès CWB et
les coûts ou passifs éventuels non divulgués liés à l’acquisition;
les changements climatiques, incluant les risques physiques et liés
à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone; la
capacité de la Banque à répondre aux attentes de ses parties
prenantes concernant les enjeux environnementaux et sociaux; la
nécessité d’une participation active et continue des parties
prenantes; la disponibilité d’information complète et de haute
qualité de notre clientèle et autres tiers, incluant sur les
émissions de gaz à effet de serre; la capacité de la Banque à
développer des indicateurs pour suivre efficacement les progrès; le
développement et le déploiement de nouvelles technologies et de
produits durables; la capacité de la Banque à identifier les
occasions liées au climat ainsi qu’à évaluer et gérer les risques
liés au climat; les changements importants dans le comportement des
consommateurs; la situation du logement, le marché de l’immobilier
et l’endettement des ménages au Canada; la capacité de la Banque à
réaliser ses principales priorités à court terme et ses stratégies à
long terme; la mise au point et le lancement de nouveaux produits et
services en temps opportun; la capacité de la Banque à recruter des
ressources clés et à les maintenir en poste; l’innovation
technologique, incluant le système bancaire ouvert et l’usage de
l’intelligence artificielle; la concurrence accrue exercée par les
sociétés établies et les entreprises concurrentes offrant des
services non traditionnels; le risque lié aux modèles, les
variations de la performance et de la solvabilité de la clientèle et
des contreparties de la Banque; l’exposition de la Banque à des
enjeux réglementaires et à des litiges importants; les modifications
apportées aux conventions et méthodes comptables que la Banque
utilise à des fins de présentation de sa situation financière, y
compris les incertitudes liées aux hypothèses et aux principales
estimations comptables; les modifications apportées à la législation
fiscale en vigueur dans les pays où la Banque exerce des activités;
les modifications apportées aux lignes directrices sur le capital,
les fonds propres et la liquidité, ainsi qu’aux instructions
relatives à leur présentation et à leur interprétation; les
changements aux notations attribuées à la Banque par les agences de
notation financière et extra-financière; les perturbations
potentielles chez les principaux fournisseurs de biens et de
services de la Banque; le risque lié aux tiers, incluant le
manquement de tiers à leurs obligations envers la Banque; les effets
potentiels de perturbations des systèmes de technologie de
l’information de la Banque, y compris en raison de cyberattaques, de
vols ou de divulgation de données, incluant des renseignements
personnels et le vol d’identité; l’exposition à des activités
frauduleuses; et l’incidence possible d’événements importants sur
l’économie, sur les conditions de marché ou sur les perspectives de
la Banque, y compris les conflits internationaux, les catastrophes
naturelles et les urgences de santé publique, et les mesures prises
en réponse à ces événements; et la capacité de la Banque à anticiper
et à gérer avec succès les risques provenant des facteurs
précédemment mentionnés.
La liste des facteurs de risque qui précède n’est pas exhaustive,
et les déclarations prospectives contenues dans le présent
communiqué de presse sont également assujetties au risque de crédit,
au risque de marché, au risque de liquidité et de financement, au
risque opérationnel, au risque de non-conformité à la
réglementation, au risque de réputation, au risque stratégique et au
risque environnemental et social, de même qu’à certains risques dits
émergents ou jugés importants. Des renseignements supplémentaires
sur ces facteurs sont fournis dans la section Gestion des risques du
Rapport annuel 2024 ainsi que dans la section Gestion des risques du
Rapport aux actionnaires pour le troisième trimestre de 2025 et
peuvent être mis à jour dans les rapports aux actionnaires
trimestriels déposés par la suite.
À propos de la Banque Nationale du Canada
Forte d’un actif de 553 milliards de dollars au 31 juillet 2025, la
Banque Nationale du Canada est l’une des six
banques d’importance systémique au Canada. La Banque compte environ
34 000 employés dans des fonctions à contenu élevé de savoir et
exerce ses activités dans trois secteurs au Canada, soit
Particuliers et Entreprises, Gestion de patrimoine et Marchés
financiers. Un quatrième secteur, Financement spécialisé aux
États-Unis et International, vient compléter la croissance des
activités domestiques. Ses titres sont cotés à la Bourse de Toronto
(TSX : NA). Suivez ses activités sur bnc.ca ou par l’entremise des réseaux sociaux.